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 Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven

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N. Seven Nicholson


N. Seven Nicholson

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MessageSujet: Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven   Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven EmptyVen 5 Jan - 1:07


N. Seven A. Nicholson

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness


Nom : Nicholson
Prénom : Nathan Seven Asher
ge : 24 ans
Métier : //
Situation familiale : Syndrome de Sero
Orientation sexuelle : Bisexuel
Particularités : C'est un sorcier avec des pouvoirs assez imprévisibles, et dû à son asociabilité, il a surtout misé sur la capacité à se transformer pour passer inaperçu aux yeux des autres, ce qu'il ne fait plus depuis qu'il est aux cotés de Zero, cependant il garde parfois d'étranges instincts animaux.
Habitudes : Dormir, il dort vraiment, vraiment beaucoup. ○ Lire, la deuxième chose qu'il aime le plus après la musique, il pourrait passer son temps à le faire, il y a tout appris. ○ Manger, principalement ce que lui prépare Zero, il n'est pas piètre cuisinier, il trouve ça juste meilleur quand c'est lui qui le fait.
Groupe : Fée
Avatar : Nathan J. Feuerstein

Faits divers


C'est un être (hélas pour certains...) sensible aux réactions physiologiques parfois excessives, par exemple il peut souffrir de fortes fièvres ou se montrer aisément sensible aux épidémies.

Il est sujet aux troubles du sommeil, à des fatigues chroniques, mais, résiste à long terme.

Il manque totalement de résistance à l’alcool et les drogues le dépriment, il a l’alcool triste.

Il craint l'extérieur tout en côtoyant chaque jour sa claustrophobie.

Souffrant également d'anxiété et de quelques troubles de la personnalité évitante, il se coupe de la vie en société, éprouvant même une certaine haine envers celle ci.

Quand il perd pied, il se réfugie dans la solitude.

Il contrôle ses émotions qu’il ne livre pas à cause de sa tendance à les dissimuler ou les refouler.



Caractère


Quand on l'aperçoit de loin, Seven est représenté avec une certaine juvénilité dans ses manières et son apparence, cependant, son attitude est retenue et ses mouvements plus ou moins contraints. Ses réactions ont tendance à l'excessivité, rapides et souvent imprévisibles. C'est un personnage complexe à comprendre, et que l'on ne comprendra sûrement jamais, puisque rien que par sa présence on peut ressentir qu'il s'agit d’un introverti, qui n’est  absolument pas en syntonie avec l’extérieur. Ainsi, il y a souvent un décalage entre ses réactions et le contexte environnant d’où son imprévisibilité. Sa voix est le plus clair du temps retenue comme s'il craignait de faire du bruit, c’est un être silencieux, il a horreur de se faire remarquer car il est timide. D’où sa façon de s'exprimer plus par des murmures que par une voix distincte. Tout tapage lui est insupportable, il apprécie le silence.

Comme dit précédemment ,il est difficile de le comprendre et ainsi difficile à définir, rendant l'attribution d'un caractère et d'une personnalité propre à sa personne assez difficile. On lui attribuera beaucoup de troubles psychologique au long de sa vie, sans qu'on ne puisse déterminer lequel lui correspond vraiment. Il en reste pas moins pour autant juste un garçon qui s'est façonné une personnalité et qui s'est construit sur les expériences que la vie lui a fait subir. Et malgré un mode de pensée parfois autistique, il se trouve être un gosse ayant dû grandir rapidement tout en restant vulnérable. Il fait preuve de beaucoup de créativité dans tous les arts qu'il a eu l'occasion d'expérimenter et ici principalement la musique et l'écriture qui sont ses principaux moyens d'expression.

Malgré toute cette vulnérabilité apparente, Seven est bien moins docile que ses bourreaux pourraient l'espérer, la peur est l'émotion dominante chez lui et peut le faire réagir de bien des façon vous donnant bien du fil a retordre pour le soumettre car il n'est pas pour autant dépendant, mais bien au contraire, se complet dans sa solitude.

 

acidbrain




Derrière l'écran
Pseudo : J'en
Prénom : ai
ge : marre
Pays : des
Code du règlement : e-mails
Inventé ou scénario : de
Commentaires :confirmation
acidbrain


Dernière édition par N. Seven Nicholson le Mer 30 Mai - 18:52, édité 6 fois
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N. Seven Nicholson


N. Seven Nicholson

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MessageSujet: Re: Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven   Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven EmptyVen 5 Jan - 1:07


Histoire





Intro —
Une odeur de moisissure envahissait le petit cagibi dénué de fenêtre où se trouvait Nathan, deux ans, qui n'avait d'autres occupations que de continuer à fixer la porte, attendant sagement qu'elle s'ouvre en retenant ses sanglots pour ne pas empirer son cas. La pièce était dénuée de toute autres distractions, à l'exception de son vieux berceau de récupération dans lequel il avait passé une bonne partie dans ses nuits quand il n'était encore qu'un nourrisson et qu'il devait apprendre à faire ses nuits, peu importait combien il pleurait. Le vide ordure de l'appartement s'y trouvait aussi, combien de fois les déchets du voisinage passant dans ce gros conduit l'avait terrifié ? C'était ce genre de pièce qui intéressait personne, on ne prenait pas le temps de la faire belle, de l'aérer, elle était juste là, pouvant se montrer utile quelque fois et c'est ainsi que toute la vie de Nathan pourra se résumer. Sa vie s'apparentait à cette même pièce et c'était pourquoi il s'y trouvait, il y était à sa place. Il s'était allongé sur le dos, il avait la sensation d'être enfermé là depuis des heures, pourrait-ce être des jours ? Son estomac lui faisait mal tant il était vide, mais, son appétit, lui, avait disparu. L'odeur pestilentielle lui donnant plutôt la nausée.. En revanche il avait soif, sa bouche semblait asséchée et la déshydratation le fatiguait. Il combattu encore un moment avant de déposer les armes, ses paupières se fermant alors que la porte s'ouvrait, un rayon de lumière passant sur la peau pâle qui enveloppait son corps maigre et endormi. Il ne rouvrit les yeux que lorsque l'air frais de l'extérieur vint caresser son visage, sa vision floue ne pouvait rien percevoir d'autre que des lumières rouges et bleues tout aussi floues, dansant devant ses yeux, l'éblouissant et l'empêchant de percevoir quoi que ce soit d'autre. Les larmes montaient déjà, et un gémissement terrorisé passa ses lèvres alors que la panique prenait pleine possession de lui, son corps entravé et allongé de force l’empêchant de bouger. Une ombre se pencha sur lui, le pompier affichait un sourire qu'il ne voyait pas, il se voulait rassurant mais il ne fit que l'effrayer encore plus.  « Tout ira bien maintenant, je reste avec toi. » Une phrase innocente qui fut pourtant le premier réel traumatisme de l'enfant qui reparti bien vite dans l'inconscient.

Quand il s'était réveillé à nouveau, il était à l'hôpital, les mots « Tu es libre maintenant. » étaient tout ce qu'il se souvenait après que les hommes en uniforme l'ai accablé de questions sous les directives du terrifiant docteur qui passait son temps à parler. Ô combien il aurait aimé que ces paroles soient vraies.

Few years later

« Nathan, c'est ton tour. » La voix doucereuse de celle qu'il devait désormais appeler "maman" et qui le poussait doucement vers la salle de bain ne le fit pas réagir, son visage, aussi pâle qu'autrefois, était resté stoïque. Ses pieds nus rentrèrent dans l'eau tiède et déjà salie par ses soeurs. Il s'y assit sagement avec une certaine raideur mais sans rien laisser paraître de plus tandis que sa mère s'accroupissait à coté de lui pour le laver avec toujours ces même gestes doux auxquels il était pourtant insensible. Ses doigts caressant doucement les ecchymoses aux couleurs variées qui parsemaient son dos. « C'est pas sa faute tu sais... Il subit beaucoup de pression en ce moment. » Il opina simplement, il n'y avait que ça à faire. Elle se redressa, déposant un baiser dans ses cheveux, sous lequel il ferma les yeux un instant. « Il rentre bientôt, alors dépêche toi. » Sa voix s'était faite plus anxieuse à ses derniers mots, et elle avait de quoi l'être.

Ce soir-là le petit-ami de sa mère l'avait traîné au sous sol sous le regard horrifié de ses deux petites sœurs et, par chance peut-être, sa mère l'avait, cette fois-ci, protégé. Pour la seconde fois de sa vie, il sorti de cette spirale. Pour en rejoindre une nouvelle.


30 MARS 2007

« Feliz compleanos Nate. » L’intéressé adressa un sourire à sa petite soeur qui était ravie de pouvoir montrer à son frère tout ce qu'elle avait appris jusqu'ici à l'école. Il était ailleurs, regardant son père concentré sur son téléphone, son ordinateur près de lui ouvert sur sa boite mail, complètement inattentif à ses trois gamins. Ce n'était pas inhabituel, il s'était toujours comporté ainsi, son travail passant toujours avant tout et tout le monde, comprenant donc ses propres enfants. Adopté. Il n'aurait pas manqué de le préciser comme pour l'excuser de l'existence de son fils aîné tout en adressant un regard critique sur ce dernier. Du haut de ses tout juste 13 ans Nathan portait déjà des affaires trop larges pour lui, se cachant sous des couches de tissus aux nuances sombres, son père le reniant qu'un peu plus pour ça, lui qui portait de beaux costumes bien taillés et aux coutures dorées. Mais rien de tout ça n'avait d'importance aujourd'hui. C'était son anniversaire, il allait la revoir. Oh, mais pas de la manière dont il l’aurait souhaité.

La vision de sa mère, allongée là sur le sol froid de sa chambre, le flacon de ses médicaments échoué sur le parquet près de son corps raide et glacé, fût gravée pour toujours dans sa mémoire. Il en retira que plus de cauchemars qu’il avait déjà pour habitude de côtoyer, amplifiant le désintérêt de son père à son égard, persuadé que cela finirait par s’arrêter de lui-même. Nate était seul. Comme il l’avait toujours été, et la seule chose qui l’empêchait de fuir le domicile familial était sa petite sœur, qu’il se refusait d’abandonner, qu’elle ne connaisse pas ce que lui-même avait connu. Il n’avait malheureusement pas prévu qu’il ne pourrait pas toujours la protéger, surtout quand il fallut la protéger de lui-même.


Intro II —
Ils avaient toujours été là, mais il ne s’en était aperçu que ce jour précis, il aurait bien préféré le réaliser plus tôt, ainsi aurait-il pu éviter tous ces dégâts ? Il en faisait encore des cauchemars, lui qui pensait que ses nuits ne pouvaient être pires qu’elles étaient déjà du temps de chez son père, il s’était bien trompé. Chaque nuit, il se revivait cette étrange sensation qu’il avait eu cette soirée-là, la sensation d’agir contre son grès, pire de seulement être témoin et spectateur de ce que son propre corps faisait. Il avait haït cette sensation. Il avait été certain que ses pouvoirs avaient été la cause de tout ça, et donc par défaut, tout était de sa faute. Il méritait donc ces nuits passées dans des ruelles, à l’abri du vent et surtout des regards. Bien sûr que son père n’aurait pas laissé passer telle occasion pour le jeter dehors sans avoir à éprouver quelque culpabilité que ce soit.

Drogues, alcool, malnutrition, tous les moyens étaient bons pour affaiblir et calmer ses pouvoirs, ne plus être harcelés par eux, la solitude et son obsession qu’ils avaient amenés avec eux hantant Seven chaque jour et chaque nuit. Pour se nourrir, le vol à l’étalage faisait son affaire, il faisait ses réserves chaque semaine à la fin des marchés du week-end, plusieurs fruits et légumes abimés étant abandonnés à leur sort dans la rue. Il n’était, en revanche, pas le seul à vagabonder dans les rues et s’essayait à se faire le plus discret possible pour ne pas se faire embêter, se fondant dans les ténèbres des rues étroites de la ville pour ne pas se faire trop remarquer. Pour ce qui était des substances plus « calmantes », il lui était plus compliqué de se fournir, l’argent n’étant trouvable nulle part et le vol clairement pas une option lorsque l’on tenait un minimum à la vie. Seulement, on finit par le trouver, par on ne sait quel moyen, et il fut pris sous l’aile de ce que Seven prit, au départ, pour une aura protectrice que possédait l’étrange personnage qui s’était présenté à lui.

Il lui fallut une année complète pour comprendre que le marché proposé par Marcus n’était pas tant équitable que prétendu. Le système bien roué de ce groupe de dealeurs l’avait rendu dépendant et esclave de ce dernier, endetté et redevable pour le moindre confort qu’ils lui avaient apporté, il s’était retrouvé exposé à bien des dangers. Les autres se servant de ses petits airs fragiles pour lui refiler les besognes les plus ardues, sa bouille trop innocente et son allure trop discrète pour se faire repérer par les militants de la loi. Et puis, s’il se faisait prendre après tout, ce serait tant pis pour lui, il pourrait s’estimer heureux d’avoir vécu jusqu’ici, il leur restait redevable, sans eux, il serait surement déjà mort dans un caniveau. Seulement, un jour, quelqu’un le remarqua. Comme un nouveau sauveur, Emrys se présenta à lui, lui offrant bien plus que cette vie miséreuse de toxico, lui promettant de l’aider à s’extirper définitivement de ce cercle sectaire dont il était le larbin.

Intro III —
Il avait de nouveau fait confiance à la mauvaise personne, mais il avait mis tant de temps à s’en rendre compte que, une fois de plus, il était déjà trop tard pour se sortir par lui-même de cette routine exténuante. Il n’avait pas complétement de quoi se plaindre, il était bien traité, il avait un toit au-dessus de la tête, à manger dans son assiette et un lit douillet où dormir. C’était peut-être même à cause de ce certain confort, qu’il lui avait été si difficile d’ouvrir les yeux, lui qui ne connaissait rien à ce qu’était la normalité ou encore l’affection. Ses journées se ressemblaient et s’enchaînaient sans jamais qu’il ne se plaigne une seule fois. Il se levait chaque matin avant même que le soleil se soit levé, nettoyant la grande maison où Emrys vivait temporairement, seulement après il avait le droit d’être gratifié d’un petit déjeuner de fortune.

Outro —
Agitabantur has exhalaret notissimus foveis litis subsidia imperiale iunxerat bellicosus cum adulatorum accusatores et sibi discretus iurgiis cerneret abnuens cum cerneret accitus exitialis occultis turmis oblatrantibus quae quaesitoresque subditivos exhalaret adulatorum palamve edocebat iunxerat cum longe anxius subsidia quae dispicere ruinarum subsidia quorum accusatores edocebat adulatorum dispicere militum cum militum oblatrantibus militum Caesaris reclamans ex metu certamina bellicosus litis litteris imperiale nos Caesaris nos iurgiis consociatos iurgiis quorum iunxerat exitialis milesque abnuens longe sed subsidia imperiale quaesitoresque palamve notissimus isdem sane sane semper foveis emergentes a adulatorum isdem a subditivos adulatorum metu inplorans oblatrantibus exhalaret et exitialis quaesitoresque tumor nos.


acidbrain


Dernière édition par N. Seven Nicholson le Ven 29 Mar - 9:32, édité 10 fois
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Zéro Laufeyson

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MessageSujet: Re: Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven   Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven EmptyVen 5 Jan - 1:17

*arrive sagement sur la fiche*

Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven 4fc45b33171d0a74fefdd8327a821536

*fait des yeux douillets*

Pretty pathetic, but you make it pretty easy to say - Seven Andy-biersack-andy-sixx-black-veil-brides-funny-Favim.com-2650708

*fait son beau pour être épousé*

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*prévient quand même de ce qui attend le bibichou de 7*


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