Miles - I don't think you should believe in me the way that you do. 'Cause I'm terrified to let you down.

Miles I. J. Malchior

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

Caractère

acidbrain

Derrière l'écran

Part I

La naissance de Miles ne s'est pas vraiment présentée dans un contexte très joyeux, la scène n'avait rien eu d'une de ces scènes familiales respirant le bonheur. Ils s'agissait, en fait, simplement de deux pauvres nourrissons, hurlant à la vie. Deux petits garçon aux bouilles déjà identiques malgré leur jeune âge à l'exception peut-être que la vivacité du premier ne faisait que transparaître un peu plus la fragilité du second. Deux petites créatures nouvellement venues au monde qui comblait de bonheur et remplissait d'amour leur pauvre mère, affaiblie par l'effort de ses dernières heures de travail. Ses traits étaient tirés de fatigues, et même trop cernés pour n'être simplement liés qu'à une grossesse, mais peu importait le passé, ses deux petites merveilles régleraient tous ses problèmes, elle en était certaine et ne pouvait que déborder de joie à cet événement, à la pensée que tout serait terminé, mais ce ne fut que pour une courte durée seulement. Le chef de famille débarqua le lendemain pour découvrir, ce qui était pour lui, deux bouches de trop à nourrir. La mère s'en était rendu compte rapidement, son flot de paroles maladroit pour essayer de mettre des mots sur sa joie s'était ralenti avant de complètement se stopper, laissant place aux larmes et une mine dévastée à la réalisation du désintérêt de son époux pour les deux nouveaux-nés, que rien ne changerait dans sa misérable petite vie. Et ce fût ainsi que le premier jour de Miles, affublé des prénoms de son grand père et arrière grand père maternel, et de Maxence, qui avait à porter le nom de son père et du père de celui-ci dans une vaine tentative de plaire à celui-ci, se déroula. On mentionne souvent l'enfance comme des années d'insouciance et de joie, cela n'est pas complètement vrai, ou du moins, tout dépend quel est l'âge de la fin de cette dite enfance, puisque pour eux, cela n'avait été que trop court, dès l'instant où ils avaient franchit le seuil de la porte, serrés l'un contre l'autre dans leur couffin que la mère portait maladroitement, dès ce moment, ils avaient pénétrer ce qui serait leur vie tout aussi miséreuse que celle que leur mère avait pu avoir, et continuerait d'avoir pour être tombée bêtement d'amour pour cette homme inflexible, colérique et violent.

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Part II

Au cas où parce que le frèrot il a écris beaucoup...

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