Damian Arthur Lowell || No one can break me

Damian A. Lowell

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

Caractère

At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat.At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat.

acidbrain

Derrière l'écran

Histoire

Je n’ai pas grand-chose à vous dire de mon enfance. Ma mère est morte en me mettant au monde et mon père me l’a, bien entendu, toujours reproché d’une certaine façon. Il fallait toujours que je sois le meilleur, que je le rende fier, que je puisse être digne de lui succéder un jour sur le trône de Kaamelot. Car oui, je suis le fils du roi, donc le prince héritier de la couronne de Kaamelot. On pourrait penser que mon enfance ait été l’une des enfances les plus joyeuse du monde, et il vrai que comparé à certain je n’ai absolument pas à me plaindre, j’avais une grande chambre, des serviteurs, la meilleure nourriture dans mon assiette. Mais je me fichais bien de tout ça, j’aurais tout donné pour avoir la seule chose que je n’ai jamais eu, l’amour de mon père. Etre un prince ne vous protège pas du manque d’amour et surtout vous oblige à avoir une certaine conduite et façon d’agir. Quand j’étais plus jeune, j’avais voulu partagé mon repas avec la fille d’une de nos servantes, j’ai passé une semaine dans une cellule dans nos cachots pour m’apprendre la vie comme me l’a si bien dit mon père en me jetant dedans. Mais bref passons sur cette enfance qui bien malgré moi, m’a fait tel que je suis aujourd’hui.

En tant que prince héritier, je me devais donc d’être un chevalier imbattable, le meilleur de toutes nos troupes. Et les grands discours de mon père on finit par avoir raison du petit garçon qui voulait la justice pour tous. Je suis donc devenu ce qu’est tout prince qui se respecte, un vrais conna… Non peut être pas non plus, mais quelqu’un d’hautain et d’imbu de lui-même. Même si une certaine personne essaye tant bien que mal de changer un tant soit peu cette facette de ma personnalité. Tant qu’à y parler, racontons donc la façon dont j’ai rencontré la personne qui allait changer ma vie. Je m’en souviens encore comme si c’était hier. Et dire que j’avais été à la limite de le faire exécuter parce qu’il m’avait énervé. M’enfin passons. J’étais en train de m’entraîner au lancer de couteaux sur cible mouvante (n’écoutez pas ceux qui disent que je torturais un pauvre valet pour le plaisir de prouver ma dominance face aux autres), quand un jeune homme brun, mon âge, me demande d’arrêter en m’appelant « ami ». Non mais on aura tout vu ! Lui demandant s’il me connaissait, je lui précisais que je n’étais en rien son ami et qu’il n’avait pas à se mêler de mes affaires (en gros une façon moyenâgeuse de dire « Dégage pauvre con »), ce dernier insistant et me menaçant d’une certaine façon et m’insultant de crétin au passage, je décidais de lui donner une bonne leçon, l’envoyant à terre en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, puis de le faire jeter au cachot.

Continuant ma semaine comme toujours, j’eu la surprise de recroiser ce jeune homme dans la rue, moi qui l’avoir fait jeter au cachot. Je décidais de le taquiner un peu histoire de lui montrer une fois de plus qu’on n’insulte pas de crétin le fils du roi. Ce dernier eu le toupet de m’insulter cette fois ce de crétin royal. J’allais encore devoir lui donné une bonne leçon pour lui apprendre la vie et le respect. Je lui lançais un fléau d’arme dessus qu’il eut bien du mal à ne pas laisser tomber à terre. Je fis tranquillement tourné le mien au-dessus de ma tête et sur mes côtés pour lui montrer que je ne plaisantais pas. Et on commença notre combat. J’avais largement l’avantage, du moins au début. Puis étrangement comme si j’étais devenu en une seconde le plus maladroit des bougres, je commençais à emmêler mon fléau dans des cordes, me prenais les pieds dans des caisses … Au moment où ce dernier pensais avoir gagné contre le fils du roi, il fut déconcentré et j’en profitais pour le faire tomber au sol. Bien entendu les gardes arrivèrent à ce moment-là pour s’en saisir et le mener au cachot. Je les stoppais dans leur mouvement car bien que ce jeune homme soit un idiot ayant insulté le fils du roi sans le savoir, cela ne l’a pas empêché de continuer une fois qu’il sut qui j’étais, et il faut dire que dans mon entourage des personnes osant réellement me dire ce qu’ils pensent sont plutôt rares.

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