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 Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...

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Tobias B. Barnes

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Tobias B. Barnes

▲ Date d'inscription : 16/05/2016
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Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...  Empty
MessageSujet: Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...    Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...  EmptyMar 17 Mai - 17:32


Tobias Bucky Barnes

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness


Nom : Barnes
Prénom : Tobias
Âge : 700 ans et quelques, j'ai arrêté de compté, ça m'ennuyait
Métier : Cible mouvante pour les McGuinness, SexToy de Sheila et bureau des pleurs de Kiki
Situation familiale : J'ai été marié mais ça remonte à longtemps
Orientation sexuelle : Hétéro
Particularités : Mon beau visage suffit pas ?
Habitudes : Sex ○ Drugs ○ Rock'n'roll
Groupe : Vampire
Avatar : Sébastian *dans le congélateur* Stan

Anecdotes

• Il a participé à toutes guerres mondiales, et oui tué des gens dans des tranchées ça à un côté assez fun. Puis quand il n’y avait pas de grand massacre de prévu il s’en prenait à son propre camp. De toute façon il n’aime personne.

• Il a eu en totalité dans sa vie un seul vrai ami. Son ‘papa vampire’ qui n’est autre que Killian.

• Il fait taire ses émotions 20 ans après sa transformation, quand il comprit que jamais sa peine et sa douleur ne s’effaceront avec le temps contrairement à ce qu’on lui à fait croire.

• Il à un chat roux qu’il à trouvé dans la rue, voir cette petite boule de poil abandonnée dans la rue et essayé de survivre à côté du cadavre de sa mère lui rappela son passé alors il l’a recueilli et appelé Joker. Avoir un chat ne le dérange pas puisqu’il se montre aussi indifférent que le chat l’est envers lui.

• Il passe ses soirées dans des boîtes de nuit ou des bars à la recherche d’un repas et d’une compagnie pour la nuit, avec des jambes longues d’au moins 1 mètre.  

• Il retrouve de temps en temps Killian pour des soirées débordantes de gorges tranchées et du sang coulant à flot.

• Il à un tatouage autour du poignet où sont écrit les noms de sa femme et de ses enfant en alphabet runique.


Caractère

Beaucoup vous diront que je n’ai pas de cœur, en un sens c’est vrais, bien qu’il est arrêté de battre depuis longtemps il est encore là, mais c’est juste pour faire bonne figure. Car au fond si les gens disent que je n’ai pas de cœur c’est uniquement que je ne ressens rien. Au fond dîtes-moi à quoi peuvent bien servir les sentiments ? Sinon vous faire souffrir inutilement. Car quand vous ressentez quelque chose, vous finissez inévitablement par souffrir. Alors pourquoi être masochiste comme ça en se forçant à tomber amoureux, ou devenir ami avec quelqu’un si c’est pour un jour vous retrouvé détruit par sa perte. Vous voyez, inutile comme je le vous disais. Et personnellement souffrir ce n’ai pas mon truc. Après chacun le sien je sais que je préfère rester seul que de m’attacher. Je suis sur que vous vous demandez comment j’ai pu en arriver là … Et bien vous le découvrirez plus tard.

Je n’en suis bien sur pas pour autant une personne taciturne qui reste ermite dans son coin. Loin de là, si il y a une soirée ou alcool et sex coulent à flot vous aurez bien des chances de m’y trouver. Mon manque de ‘cœur’, vraiment je trouve cette expression drôle, ne m’empêche pas pour autant de prendre très souvent du bon temps avec de la charmante compagnie. Car je ne compte pas passer mon immortalité comme un curé à avoir les couilles qui pendent par manque d’activité. Mais ne pensez pas pour autant, chères demoiselles, que vous puissiez avoir la moindre chance d’être ailleurs que dans mon lit. Comme je l’ai dit l’attachement ce n’est pas pour moi. Enfin ça ne l’est plus. La seule personne pour qui j’ai un minimum d’attachement est mon ami d’enfance et ‘papa vampire’ comme j’aime l’appeler pour l’emmerder.

acidbrain




Derrière l'écran
Pseudo : Fuck*ng Queen Panda
Prénom : Paaaaaaaaanda
Âge : 24 now :'(
Pays : France
Code du règlement : Autovalidation B*tch
Inventé ou scénario : Viens d'un recoin sombre de mon cerveau
Commentaires : Ne jamais mais alors jamais recongelé un produit décongelé !!! Marvel devrait être au courant Naméoh !!!
acidbrain


Dernière édition par Tobias B. Barnes le Mar 17 Mai - 20:21, édité 6 fois
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Tobias B. Barnes

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Tobias B. Barnes

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MessageSujet: Re: Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...    Tobias B. Barnes || Feelings hurt ... No feelings ... No hurt ...  EmptyMar 17 Mai - 17:32


Histoire




Je poussais mon premier cri juste après être sorti de l’entre-jambe de ma mère comme pour hurler le bonheur d’être enfin sorti de ses entrailles. On pourrait croire que vu mon attitude aujourd’hui je suis né dans une famille horrible, n’ayant connu tout le long de mon enfance que les coups et les humiliations. Mais non loin de là. J’avais des parents aimant et bienveillant qui m’ont bien élevé e bien traité. Cependant avoir des parents gentils n’empêche pas que leur enfant soit un vrai garnement. Mais pour ça il faut que je vous raconte mon enfance avec Allen. Allen venait d’arriver depuis peu dans la ville de Michlestown, accueilli par sa marraine. Ce jeune garçon devint rapidement le souffre-douleur des autres enfants du village seulement parce qu’il était le fruit d’un adultère. Je n’ai jamais vraiment compris en quoi ça pouvait le rendre plus détestable qu’un autre. C’est probablement pour cette raison qu’un jour en rentrant chez moi après l’école, je le retrouvais la lèvre en sang et certain de ses vêtements déchirés, entrain de ramasser ses affaires d’école dans la boue. Je me penchais alors pour l’aider à ramasser ses affaires et lui tendais d’ailleurs la main pour l’aider à se relever. Je lui proposais de venir chez moi pour éviter de rentrer chez sa marraine dans cet état et il accepta. C’est ainsi que commença notre amitié.

On n’essayait même pas de se venger de ceux qui lui menaient la vie dure. Trouvant bien plus utile d’apprendre à se battre ensemble. C’est comme ça que je devin son seul ami. Jusqu’au jour où il rencontra cet homme étrange dont il n’arrêtait jamais de me parler. Pour ma part je ne le sentais pas du tout. Mais Allen semblait lui faire confiance, disant qu’un jour il le rejoindrait. Il continuait même d’en parler quand on eut atteint 16 ans. Alors que moi j’avais pour ma part d’autres priorités. Priorité portant le nom de Cathleen McGuiness. Une jeune femme dont la famille vivait à l’extérieur du village et était même très discrète. Je la voyais régulièrement faire le marché avec sa mère. Cependant je n’osai trop m’approcher d’elle. Sachant que sa famille était crainte dans l’enceinte de Michlestown. Ce fut à mes 17 ans que j’osais enfin lui parler, réussissant à l’entraîner loin de sa mère. Sûrement l’une des meilleures journées de ma vie. En retrouvant Allen, le soir venu je lui racontais ma rencontre avec elle et lui annonçais haut et fort que plus tard j’épouserai cette femme. La seule chose que trouva à me dire mon meilleur ami était que sa famille était encore plus crainte et rejeté que lui ne l’était alors que j’allais vraiment devoir m’accrocher.

C’est d’ailleurs ce que j’ai fait je me suis accroché de toutes mes forces et voilà pourquoi, 2 ans plus tard je me retrouve sur un autel, au côté de Allen, attendant la venue de Cathleen à mes côtés pour sceller notre union. J’y étais parvenu. Je ne pouvais être plus reconnaissant envers les cieux pour m’avoir offert l’amour de cette femme. Amour dont je promis de me montrer digne chaque jour durant pour le sacrifice qu’elle avait dû faire. Car notre mariage n’était pas le bienvenu aux yeux de tout le monde et principalement aux yeux de sa famille qu’elle quitta pour moi. Comment pourrais-je oser ne pas me montrer digne de ce geste ?
4 ans plus tard, alors qu’Allen préparait son départ pour Londres, Cathleen m’offrit le plus beau des cadeaux, notre premier enfant. Un garçon qu’on nomma Andrew. J’étais le plus heureux des hommes. Malgré le départ de mon ami. Mais je savais que cette ville n’avait plus rien à lui offrir et qu’il ne pourrait jamais y trouver le bonheur comme moi. J’accompagnais quand même mon ami pour son départ ne pouvant simplement lui dire au revoir avant de retourner auprès de ma famille, je savais que Cathleen comprendrait. Une fois qu’il fut dans le bateau qui le mènerait à Londres, je pris le chemin du retour pour retrouver femme et enfant.
Nous avions une vie simple, ne roulant pas sur l’or mais n’étant pas pauvre non plus. Andrew venait d’avoir 5 ans et Cathleen attendait notre deuxième enfant. De quoi me combler encore plus de bonheur. Nous savions que l’Irlande était en guerre contre l’Angleterre. Mais nous ne sentions pas inquiétés par cette guerre pensant qu’elle n’attendrait pas notre petit village de campagne. C’était vraiment stupide de notre part.

Allen revient à Michlestown le jour de l’anniversaire d’Andrew. Il avait quelque chose de changé en lui mais je ne lui en tenais pas rigueur. Sachant que sa vie à Londres n’aurait rien à voir avec celle qu’il avait ici. Mais j’avais quand même ce pressentiment que ce n’était plus totalement celui que j’avais connu. Mais je l’accueillais quand même chez nous avec grand plaisir. Nous passions quelques soirées ensemble afin de rattraper toutes ces années loin l’un de l’autre. Je sentais toujours qu’il avait ce quelque chose de changé chez lui. C’est d’ailleurs ce dernier soir le plus important de tous alors que l’on rentrait de la taverne ensemble. N’ayant pas trop bu mais seulement passé une majorité de la nuit à discuter, qu’ils sont arrivés. Les anglais. Ils ont débarqués sur leurs chevaux avec leurs torches, mettant le feu à toutes les habitations à leur porté. Je couru immédiatement vers ma maison pour récupérer mes armes. J’embrassais Cathleen avant de lui dire de se cacher elle et notre fils, puis je parti rejoindre les hommes du village dans la bataille. Je me déchainais contre les anglais, les affrontant un à un, recevant des coups, mais restant toujours debout. Je me battrais jusqu’au bout pour protéger ma famille. Alors que je venais de transpercer un anglais de mon épée et de repousser son corps sur le sol, je n’entendis pas celui arrivant derrière moi. Par contre je sentis sa lame franchir la barrière de mon armure de cuir et s’enfoncer dans la chair de ma poitrine. Alors que l’anglais retirait l’épée de mon corps et que je tombais à genoux, je vis au loin, Allen en égorger un je ne sais comment avant de le voir se précipiter vers moi alors que ma vision se brouillait et que je tombais inerte au sol.

Je me réveillais en sursaut, désorienté. Je ne voyais pas ou j’étais. Et alors que je m’apprêtais à me lever je sentis une poigne me maintenir sur le matelas avec un force gigantesque. Je sentis alors un liquide pâteux me couler dans la gorge alimentant une soif dont j’ignorais l’existence avant. Alors que je repoussais le verre de mes lèvres et que je retrouvais mes esprits au même moment, je remarquais que la poigne qui me maintenait allongé était celle d’Allen. J’essayais de le repousser pour pouvoir me lever mais ne parvins même pas à le faire bouger d’un millimètre. Quand il daigna enfin me relâcher, je me relevais pour m’asseoir et comprendre que je me trouvais sur un lit dans une sorte de grenier. Il y avait le corps d’une femme dans un coin et Allen s’assit sur une espèce de caisse en bois sans oser me regarder. « Qu’est ce qui s’est passé ? Où suis-je ? » Je lançais les premières questions qui me venaient en tête, espérant obtenir des réponses de mon ami. Mais il ne me regarda même pas avant de se mettre à parler. « Je suis désolé mon ami, mais je ne pouvais pas te regarder mourir. J’ai beau être devenu l’un des plus grands connards du monde et n’en avoir rien à faire des autres, tu es le seul que je ne pouvais pas regarder mourir sans agir. Tu vas te sentir différent pendant un certain temps. J’essayerai de trouver une sorcière pour te permettre de sortir à la lumière du jour. Je t’aiderai le temps que tu t’habitus à ta nouvelle condition. ». J’essayais tant bien que mal de comprendre les paroles qui sortaient de sa bouche mais je n’arrivais pas aligner deux idées. Comment ça il ne pouvait pas me laisser mourir sans agir ? Au même instant je me souviens de l’épée me transperçant la poitrine avant que je ne m’effondre au sol. Je portais ma main à ma poitrine pour découvrir qu’il ne restait plus aucune trace de la blessure que j’avais subie. Comment cela pouvait être possible. Même s’il avait réussi à e maintenir en vie je devrais avoir une énorme cicatrice là ou l’épée m’avait traversée. Mais mon torse était aussi lisse qu’avant. Je me tournais vers lui et lui posais alors la seule question dont je ne voulais pas connaître la réponse. « Ma famille ? » fut la seule chose que je réussi à dire, ayant peur d’apprendre le pire. « Je suis désolé, je suis arrivé trop tard pour eux. Mais ceux qui leur ont fait ça sont tous mort. Crois-moi. ». A l’instant où ses mots franchirent ses lèvres, je me levais d’un bon et couru vers ma maison.

Je ne compris pas au début comment le décor pouvait bouger aussi vite autour de moi, avant de me rendre compte que le grenier dans lequel je me trouvais se trouvait dans une maison à l’extérieur du village. Et sans comprendre comment un seulement quelques foulées, je me retrouvais devant ma maison. Enfin devant les ruines de ma maison, puisqu’il ne restait que des cendres et des poutres calcinés de ce que j’avais autrefois appelé mon foyer. Je poussais les poutres en hurlant « CATHLEEN, ANDREW ». Je parcourais les restes de ma maison pour arriver dans le jardin éclairé par des brasiers et c’est là que je les ai vus. Ma femme et mon film, pendant à un arbre au fond de notre jardin. Leurs vêtements étaient déchirés et maculés de sang comme s’ils s’étaient battus de toutes leurs forces pour échapper à la mort. Je tombais à genoux et hurlait ma peine devant les cadavres de ma famille, de mon fils, de ma femme et de l’enfant qui se trouvait encore dans son ventre et qui ne verra jamais le jour. Je sentis une main sur mon épaule. « Tu peux l’éteindre si tu veux si c’est trop dur. Tu peux renier ton humanité afin de ne plus sentir cette douleur ». Levant mes yeux remplis de larmes vers mon ami je le suppliais du regard « Comment ? » fut la seule chose que je lui demandais. « Je t’apprendrais on à l’éternité pour ça maintenant ».

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